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Laure Bonis

Revenue m’installer en 2021 près du Thor, j’ai repris une maison, au cœur d’une propriété agricole acquise par ma famille maternelle en 1840. Mes parents en avaient fait leur résidence prIncipale après leur départ de Paris. Si l’activité agricole s’est arrêtée pour nous il y a quelques années, nous avons la chance, mes trois sœurs et moi, d’y garder chacune une maison, ce qui nous permet de belles retrouvailles familiales entre mes quatre enfants et leurs cousins.
Je suis profondément attachée à notre région, ses paysages, ses traditions : j’y ai mes racines, tant du côté de ma mère que de mon père, Philippe, petit-fils de Folco de Baroncelli, « Lou Marquès », manadier et poète. Je croise ainsi de nombreuses traces de ma famille, tant à Avignon qu’en Camargue. Et j’aime partager cela avec les amis qui me rendent visite.Professionnellement, des études littéraires m’ont menée à une agrégation de géographie, et plus tard, à un master en communication d’entreprise au Celsa. J’ai été professeur, responsable de formation, directrice de prépa. Qu’ai-je fait d’autre ? Beaucoup de choses, j’ai même créé une entreprise d’édition de CD-Rom éducatifs, mais internet a tué les cd-rom. Belle expérience ceci dit. Tout cela m’a conduite à habiter dans l’Aisne (Soissons), en Bretagne (Nantes, oui c’est en Bretagne) et à Lyon… Chaque fois j’ai sillonné ces régions pour y découvrir un patrimoine attachant et écumé les galeries d’art et les musées. Retraitée, je peux maintenant consacrer du temps à la maison familiale qui en a bien besoin. Je souhaite y maintenir la tradition d’accueil de mes parents. Je profite ainsi de nos beaux paysages et de leur lumière en y randonnant avec des amis. J’aime toujours autant les voyages (mention spéciale à l’Italie), la feria (Arles et Nîmes) et toujours et encore les galeries d’art et les expositions.

Texte et crédit photo :


Michel et Claire de Causans

Michel est arlésien depuis toujours et s’occupe d’une propriété agricole dont les cultures sont du foin de Crau, des oliviers et des céréales.  Pour ma part, originaire du Jura, je suis architecte et depuis presque 4 ans adjointe au maire d’Arles (Patrick de Carolis) en charge de la Culture.  Nous avons 3 fils et une petite fille. 
Nous sommes entre autre passionnés d’art et du Patrimoine, la ville d’Arles où nous vivons, offrant beaucoup d’intérêt pour ces 2 passions. Mais nous sommes curieux, bien évidemment, de découvrir d’autres villes françaises ou européennes. 


Jérôme et Juliette Chevalier

Jérôme et Juliette ont acheté récemment une maison à Maussane et y viennent régulièrement tout au long de l’année.

Jérôme a créé et dirige un fonds d'investissement spécialisé dans la technologie. Juliette travaille dans l'immobilier haut-de-gamme à Paris. Ils sont tous les deux mécènes dans le théâtre et la musique.

Juliette connaît Garance depuis son origine grâce à son père, Guy de Wouters, qui y a joué un rôle très actif et lui a transmis son goût pour l'art et le patrimoine.

Plus récemment, Juliette et son mari ont eu l’occasion d’accompagner Laurence Gautier à certaines sorties et ont beaucoup apprécié la qualité de nos rencontres. Par ailleurs, Jérôme et Juliette ont de nombreux amis, membres de Garance et connaissent aussi Marion Champin depuis longtemps.

Ils ont tout à fait conscience que cette association se doit d'être animée par tous et seront heureux de contribuer à organiser une journée de découvertes dans la région.

Pour Juliette, cela serait un grand bonheur de rendre hommage à son père en poursuivant ce lien avec Garance.


Hervé et Emmanuelle de Kergorlay

Les parents d’Emmanuelle, « Amy », sont dans la région et plus particulièrement au Mas  de Viret, à Saint-Rémy-de-Provence, depuis 1970 , date à laquelle ils l’ont acheté.  
Hervé avait une agence de voyages dont la particularité était d’être une « niche » dans les voyages chrétiens, pèlerinages ou culturels.  
Amy a repris la petite exploitation familiale que sa mère avait créée.  
 
Ce pays, situé entre Marseille, Le Luberon, la Camargue et les Alpilles, avec sa lumière, ses odeurs et son caractère fort, dû à son climat souvent extrême, est notre Midi.  
Nous chérissons « nos » Alpilles, cette petite chaîne de montagnes de quelques kilomètres plantée là comme pour un  décor de film avec ses couleurs, mauve, rose, bleu, toujours changeantes selon l’heure et le temps du jour.